I know I've been changed
Résumé
Enr. du 19 au 23.04.2010
Dès les premières notes d' «I Know I've Been Changed», le vibrato si caractéristique d'Aaron Neville s'élève avant de s'immerger dans une prière musicale passionnée et totalement sincère. Il s'agit peut-être du temps le plus fort d'un album particulièrement émouvant, son premier depuis que l'ouragan Katrina a dévasté la ville qu'Aaron Neville chérissait, et détruit son foyer, altérant à jamais la vie qu'il avait connue jusqu'alors. Malgré son contexte tragique, ce projet n'a rien de lugubre et apparaît plutôt comme une célébration pleine d'espoir des trois choses qui ont contribué à faire d'Aaron Neville ce qu'il est devenu : sa ville, sa musique et sa foi. Dans le plus pur style de la Nouvelle-Orléans, «I Know I've Been Changed» marque également le cinquantième anniversaire d'Aaron Neville dans l'industrie du disque. En quelque sorte, ce disque boucle la boucle, lui permettant de renouer avec la musique qu'il a aimée dès le début de sa carrière (le gospel), et de retravailler avec Allen Toussaint, le légendaire songwriter, musicien et producteur qui a produit sa première séance d'enregistrement en 1960 ! Les musiciens ont joué à l'ancienne, pendant qu'Aaron Neville chantait dans le studio, pour donner aux enregistrements un esprit live L'esprit de la Nouvelle-Orléans est caractérisé par une espérance éternelle. Cet album d'Aaron Neville reflète cet esprit-là. Il témoigne de l'espoir pour sa ville, alimenté par la foi qu'il diffuse grâce à sa musique.
CD audio
Tell it Rec.
2010
Disponible à Médiathèque Maurice Adevah-Pœuf (Thiers)
Infos complémentaires
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Chant :
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Langue de l'expression :Français
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Dimensions : 42 min. 45 sec.
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Importance matérielle : 1 d.c. en digipack
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Importance matérielle : 1 livret 12 p.
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Titre : Stand by me , I know I've been changed , I done made up my mind , I am a pilgrim , Don't let him ride , You've got to move , Oh freedom , Tell me what kind of man Jesus is , I want to live so God can use me , Meetin' at the building , I'm so glad (Trouble don't last) , Thers's a god somewhere
A propos de l'oeuvre