Toute latitude
Résumé
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, "Toute latitude", enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l'électronique. Il faudra attendre octobre 2018 pour découvrir la suite, "La fragilité", et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités font son ADN depuis 25 ans...
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, "Toute latitude", enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l'électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d'un week-end exceptionnel consacré à l'artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d'« Eléor », répond ainsi l'énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s'aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l'objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d'hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D'autres morceaux, en mode parlé chanté, s'inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d'une ombre » et « Corps de ferme à l'abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l'album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l'univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d'une collaboration avec le réalisateur de films d'animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s'impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l'une des figures incontournables de la chanson française.
Infos complémentaires
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Auteur :
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Chanteur :
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Public :Adultes
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Langue de l'expression :Français
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Importance matérielle : 1 CD
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Importance matérielle : 1 brochure
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Titre : Toute latitude , Les deux côtés d'une ombre , Se décentrer , La mort d'un oiseau , Cycle , Aujourd'hui n'existe plus , Désert d'hiver , Lorsque nous vivions ensemble , La clairière , Enfants de la plage , Corps de ferme à l'abandon , Le reflet
A propos de l'oeuvre